United Themes – Portfolio Management – Emultec https://emultec.ma Emultec Sun, 20 Dec 2020 12:04:22 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.3 https://emultec.ma/wp-content/uploads/2016/04/cropped-Logo-Emultec-32x32.png United Themes – Portfolio Management – Emultec https://emultec.ma 32 32 MIMAKI https://emultec.ma/portfolio-item/miami-house/ Mon, 20 Jul 2015 08:29:21 +0000 http://emultec.ma/?post_type=portfolio&p=189

Ce que nous créons

 

Forte de décennies d’expérience, Mimaki fabrique et commercialise des imprimantes jet d’encre et des traceurs de découpe grand format industriels. Une solution de flux de production entièrement intégrée, qui comprend matériel, logiciels et consommables : nos produits, à la pointe de la technologie, sont fiables et conviviaux.

Industrial inkjet printers of Mimaki

 

 

An industry leader in providing the broadest array of wide format print-and-cut solutions, Mimaki excels in innovation, quality, and reliability. Our flatbeds, roll-to-roll printers and hybrid print-and-cut equipment address a wide range of application needs. We offer print-and-cut solutions for almost every sign and display, textile and apparel and industrial need.

 

 

Size: Produce sheet sizes up to 6.5 square meters (70 square feet).

 

 

Substrate: Print high-quality, brilliant images on a range of material, including plastic, glass, wood, leather and fabric.

 

 

On-Demand Production: On-Demand Production: Since our digital inkjet printing systems do not require printing plates, small runs are fast, easy, and economical.

 

 

Ecological sustainability: Our wide-format inkjet printing solutions use less ink than conventional printing technologies, creating less waste and eliminating the discharge of contaminated effluent resulting from offset or flexographic platemaking processes.

 

 

 

 

Inks

 

 

With inks and printers working harmoniously together, our tightly integrated systems deliver outstanding prints. We develop a wide variety of solvent, pigment and water-based inks for quality, high-definition color on most materials. Mimaki inks resist, even when exposed to direct sunlight, and are water and abrasion resistant.

 

 

Cutting plotters

 

 

Mimaki set the benchmark for cutting solutions in 1987 by introducing the first plotter in the world to use the drag knife. This technology introduced a shift from simple signboards with hand-painted lettering to vibrant signs with eye-catching photographs and illustrations. Well received in the market, our innovative cutter was the basis for continued innovation. Today, Mimaki cutting solutions are found in sign and display, textile and apparel, and industrial businesses around the globe.

]]> MONTI ANTONIO https://emultec.ma/portfolio-item/morden-house/ Mon, 20 Jul 2015 08:26:24 +0000 http://emultec.ma/?post_type=portfolio&p=188

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]]> Canson https://emultec.ma/portfolio-item/lexham-gardens/ Mon, 20 Jul 2015 08:24:59 +0000 http://emultec.ma/?post_type=portfolio&p=187

Les origines

L’entreprise Canson est issue d’une tradition familiale de plusieurs siècles. Jean Montgolfier, fait prisonnier lors des croisades à Damas, aurait, au XIIe siècle, appris à fabriquer du papier. Après son évasion, il aurait rapporté le secret en Europe, se serait installé dans la production de papier, afin de remplacer le parchemin3.

Annonay, un creuset pour l’industrie papetière et pour la première montgolfière

En 1557, une papeterie s’installe à Vidalon-lès-Annonay, sur le bord de la Deûme, rivière qui descend du Mont Pilat et dont l’eau claire permet de fabriquer des pâtes à papier bien blanches. En 1689, Antoine Chelles acquiert le moulin de Vidalon-lès-Annonay. Originaire du Beaujolais, il est ami avec Jean Montgolfier qui exploite le moulin de Réveillon à Beaujeu. Jean Montgolfier lui envoie ses deux fils dans le but de parfaire leur métier.

Michel et Raymond Montgolfier se marient rapidement avec des filles du maître des lieux, Françoise et Marguerite Chelles. L’histoire de Canson se confond avec celle de la famille Montgolfier, qui s’est illustrée par son activité dans le domaine de la papeterie mais aussi par la conception de la première montgolfière, en 1782, dont l’enveloppe était constituée de papier issu d’une de ses fabriques. Le logo de Canson représente encore aujourd’hui une montgolfière. Cette alliance signe l’enracinement des Montgolfier en Vivarais3.

Pierre Montgolfier (1700-1793), fils de Raymond, est un industriel tourné vers l’avenir et la modernisation de la profession, et sous son action, les moulins de Vidalon connaissent un essor considérable. C’est lui, notamment, qui installe des piles à cylindres hollandais pour remplacer les antiques maillets3.

Parmi les seize enfants de Pierre Montgolfier, se trouve Joseph-Michel Montgolfier à l’origine de nombreuses inventions comme le Bleu de Prusse qui donnera au papier la couleur tant recherchée[réf. nécessaire]. Il invente le bélier hydraulique, qui permet d’élever l’eau « à toutes les hauteurs et d’un seul jet » sans utiliser d’autre force motrice. Avec son frère Jacques-Étienne Montgolfier, il invente la première montgolfière, dont l’enveloppe était constituée de papier issu d’une de leurs fabriques, et qui s’élève dans la cour de la manufacture de Vidalon le 14 décembre 1782 (Une stèle existe toujours à l’endroit de ce premier envol, près de la maison natale de Joseph et Étienne). Le logo de Canson représente encore aujourd’hui une montgolfière4.

En 1783, Louis XVI anoblit Pierre Montgolfier et sa famille pour les nombreuses innovations et perfectionnements dont ils font bénéficier l’industrie papetière. L’année suivante, le 19 mars 1784, la papeterie des Montgolfier se voit décerner le titre de Manufacture Royale, titre qui assure le manufacturier contre toute concurrence déloyale ou usurpation de marque4.

Barthélémy Barou de la Lombardière de Canson, l’héritier des Montgolfier

Article détaillé : Barthélémy Barou de La Lombardière de Canson.

En 1798, Étienne de Montgolfier décède. Son gendre, Barthélémy Barou de la Lombardière de Canson (1774-1859), lui succède par son mariage avec Alexandrine5 et en 1801 l’entreprise devient « Montgolfier et Canson », puis « Canson-Montgolfier » en 18074. Barthélémy de Canson développe les manufactures et met au point de nombreux procédés techniques : coloration en pâte, machine à papier en continu, caisse aspirante pour accélération de l’égouttage de la feuille en formation, le collage en pâte… Il invente aussi le papier calque (ou papier végétal à calquer à l’époque) en 1807, pour les 250 ans de la fabrique6. grâce à un procédé de très fort raffinage de la pâte à papier, pour faire disparaître les éléments qui rendent le papier opaque, ainsi qu’un calandrage supplémentaire7. Il fait installer la première machine Robert, vers 18208. Une société anonyme voit le jour en 1881 sous la marque commerciale Anciennes Manufactures Canson & Montgolfier.

En 1853, les papeteries Canson inventent un papier photographique positif et négatif, pour lequel de nombreux brevets seront accordés en France et à l’étranger. Ce procédé simplifie les opérations de tirage tout en étant d’un coût inférieur et en permettant des noirs de qualité.

]]> Rotring https://emultec.ma/portfolio-item/lonsdale-road/ Mon, 20 Jul 2015 08:23:36 +0000 http://emultec.ma/?post_type=portfolio&p=186
:Rotring est une entreprise allemande basée à Hambourg de matériel de bureau et de dessin technique fondée en 1928.

Elle a introduit le premier stylo-plume sans plume classique, appelée Tiku ou Inkograph. Révolutionnaire en son temps, le Tiku est un succès mondial. L’anneau rouge (en allemand Rot ring) est toujours placé autour du bouchon de leur plume aujourd’hui.

En 1953, le Rotring Isograph est devenu le premier stylo technique. Son procédé tubulaire donne un trait de largeur normalisée avec un réservoir fermé qui permet de travailler longtemps sans interruption. Il remplace progressivement le tire-ligne dans le dessin technique. Rotring lance le Rapidograph en 1983, avec des cartouches capilaires, sans que celui-ci remplace l’Isograph.

L’apparition dans les années 1990 de la conception assistée par ordinateur (CAO) a vu la disparition partielle de la technique du dessin à plume. Pour lutter contre cela, Rotring diversifie sa gamme avec des stylos graphiques, crayons et marqueurs.

En 1998, Rotring est repris par Sanford, une société américaine spécialisée dans les produits graphiques et faisant elle-même partie de Newell Rubbermaid Inc..

En 2005, Rotring cesse l’expédition de ses produits vers les États-Unis.

Anecdote

Bien que cette firme diffuse divers articles, le terme « Rotring » ou encore « rapido » (de Rapidograph, modèle vedette de la marque) désigne couramment un stylo à plume tubulaire, destiné à tracer des traits calibrés.

Voir aussi

Liens externes

]]> Seiko https://emultec.ma/portfolio-item/dublin-house/ Mon, 20 Jul 2015 08:18:09 +0000 http://emultec.ma/?post_type=portfolio&p=185

L’histoire de Seiko débute en 1881 quand Kintarō Hattori ouvre un atelier de réparation d’horlogerie dans le centre de Tokyo2,3.

En 1913, Seiko produit la « Laurel », la première montre-bracelet mécanique fabriquée au Japon3.

En 1941, Seiko lance son chronographe de poche.

En 1959, Seiko commercialise des horloges à quartz pour des stations de radiodiffusion.

En 1960, Seiko lance la marque de prestige « Grand Seiko »4.

Quelques années plus tard, en 1964, la marque invente le premier compteur de temps à quartz portatif au monde. En 1968, Seiko remporte le concours de Genève et le titre de « meilleure montre-bracelet chronomètre mécanique ». En , Seiko est le premier à commercialiser une montre chronographe automatique5 qui est dotée à la fois d’un embrayage vertical et d’une roue à colonne.

L’entreprise propose à la vente le la première montre à quartz de « série » (modèle en or et en édition limitée à cent exemplaires6) après environ dix ans de recherche, la « Seiko Quartz Astron 35SQ »7,8.

Entre 1968 et 1970, Seiko fait certifier à Neuchâtel près de 226 « chronomètres d’observatoire » équipés des calibres 4520 et 4580.

En 1973, Seiko lance la première montre LCD avec affichage à six chiffres au monde5.

En 1975, Seiko présente la première montre numérique multifonction au monde et la première montre professionnelle de plongée en titane.

En 1983, Seiko invente la montre-télévision (calibre T001). Cette même année sort la première montre-bracelet au monde dotée d’un dispositif d’enregistrement des sons.

En 1984, l’entreprise lance la UC-2000, première montre ordinateur au monde.

En 1988, Seiko fabrique la première montre « A.G.S » (Automatic Generating System)9 au monde.

En 1990, Seiko présente la première montre de plongée au monde munie d’un profondimètre.

En 1992, l’entreprise créé une montre chronographe à quartz analogique précise au 1/100e de seconde, le calibre 7T59.

En 1994, Seiko lance la première montre-bracelet au monde à être dotée du système LumiBrite, une exclusivité Seiko.

En 1998, Seiko créé la première montre thermoélectrique au monde et propose une montre disposant d’un calendrier perpétuel.

En 1999, la marque introduit le premier mouvement « Spring Drive »5 qui a une précision d’une seconde par jour.

En 2005, l’entreprise lance le mouvement « Kinetic » perpétuel8.

En 2006, Seiko invente la première montre à affichage à encre électronique au monde : INK, calibre G510.

En 2007, Seiko produit le mouvement Kinetic Direct Drive et le chronographe Spring Drive doté d’un embrayage vertical et d’une roue à colonnes.

En 2010, Seiko présente la première montre à affichage électrophorèse avec matrice active au monde.

En 2012, Seiko conçoit l’« Astron », la première montre GPS solaire analogique au monde.

En 2014, Seiko présente le chronographe GPS solaire Astron.

 
]]> Royal sovereign https://emultec.ma/portfolio-item/penhouse/ Mon, 20 Jul 2015 08:16:34 +0000 http://emultec.ma/?post_type=portfolio&p=184

Royal Sovereign was a 100-gun first-rate ship of the line of the Royal Navy,[1] which served as the flagship of Admiral Collingwood at the Battle of Trafalgar. She was the third of seven Royal Navy ships to bear the name. Designed by Sir Edward Hunt, she was launched at Plymouth Dockyard on 11 September 1786,[1] at a cost of £67,458, and was the only ship built of her time built to such a large draught (limiting her access to shallow waters). Due to the high number of Northumbrians on board the crew were known as the Tars of the Tyne.[2]

In service

The Royal Sovereign was involved with a tragic collision with the transport Bellisarius which promptly sank on 17 March 1796

Royal Sovereign was part of Admiral Howe‘s fleet at the Glorious First of June, where she suffered 14 killed and 41 wounded.[3]

On 16 June 1795, as the flagship of Vice-Admiral William Cornwallis, she was involved in the celebrated episode known as ‘Cornwallis’ Retreat’.[3]

On 17 March 1796 the Bellisarius Transport collided with her and sank, a witness on HMS Mars wrote in a private letter that the accident was occasioned by a dispute between the Master and the second Mate when wearing ship; by which, not paying; proper attention, they fell athwart the Royal Sovereign, when the Sovereign’s gib-boom and bowsprit took their main-mast, and struck her amid ship, by which she almost ‘instantly sunk.’ To add to the distress of this dreadful scene an unhappy woman, with her infant in her arms, who stood on the quarter-deck of the Bellisarius, attempted to save the life of her infant by throwing it on board the Royal Sovereign at the instant of the two ships meeting, but unfortunately it fell between the two ships sides, and was crushed to atoms before the eyes of its unhappy mother, who in her distraction of mind, instantly precipitated, herself. into the sea, and shared the-grave of her child.[4]

Trafalgar

Under Admiral Collingwood she was the first ship of the fleet in action at Trafalgar on 21 October 1805, she led one column of warships; Nelson‘s Victory led the other. Due to the re-coppering of her hull prior to her arrival off Cádiz, Royal Sovereign was a considerably better sailer in the light winds present that day than other vessels, and pulled well ahead of the rest of the fleet. As she cut the enemy line alone and engaged the Spanish three decker Santa Ana, Nelson pointed to her and said, ‘See how that noble fellow Collingwood carries his ship into action!’ At approximately the same moment, Collingwood remarked to his captain, Edward Rotheram, ‘What would Nelson give to be here?’[5]

Royal Sovereign and Santa Ana duelled for much of the battle, with Santa Ana taking fire from fresh British ships passing through the line, including HMS Mars and HMS Tonnant, while nearby French and Spanish vessels fired on Royal Sovereign. Santa Ana struck at 14:15, having suffered casualties numbering 238 dead and wounded after battling Royal Sovereign and HMS Belleisle. Royal Sovereign lost her mizzen and mainmasts, her foremast was badly damaged and much of her rigging was shot away.[6] At 2.20 pm Santa Ana finally struck to Royal Sovereign.[7] Shortly afterwards a boat came from Victory carrying Lieutenant Hill, who reported that Nelson had been wounded. Realising that he might have to take command of the rest of the fleet and with his ship according to his report being « perfectly unmanageable »,[8] by 3 pm he signalled for the frigate Euryalus to take Royal Sovereign in tow.[7] Euryalus towed her round to support the rest of the British ships with her port-side guns, and became engaged with combined fleet’s van under Pierre Dumanoir le Pelley, as it came about to support the collapsing centre.[9] Fire from the lead ships shot away the cable between Royal Sovereign and Euryalus, and the latter ship made off towards Victory.[10] Royal Sovereign exchanged fire with the arriving ships, until Collingwood rallied several relatively undamaged British ships around Royal Sovereign, and Dumanoir gave up any attempt to recover some of the prizes, and made his escape at 4.30pm.[11]

At 4.40 pm one of Victory‘s boats, carrying Captain Henry Blackwood and Lieutenant Hill, came alongside and Blackwood reported Nelson’s death to Collingwood.[12] This left Collingwood in command of the fleet, and with a storm rising, and disregarding Nelson’s final order to bring the fleet to anchor, Collingwood ordered Blackwood to hoist the signal to all ships to come to the wind on the starboard tack, and to take disabled and captured ships in tow.[13] Royal Sovereign was by now almost or totally unmanageable and virtually uninhabitable.[14] As she had most of her masts shot away she could not make signals.[13] Having his ship too much disabled by enemy fire[15] at just before of 6 pm Collingwood, who had succeeded Nelson in command of the fleet had to transfer himself and his flag to the frigate Euryalus,[15] while Euryalus sent a cable across and took Royal Sovereign in tow for second time.[13] At the end of the action Collingwood signalled from the frigate to the rest of the fleet to prepare to anchor. HMS Neptune took over the tow on 22 October, and was replaced by HMS Mars on 23 October.[6][16] Royal Sovereign had lost one lieutenant, her master, one lieutenant of marines, two midshipman, 29 seamen, and 13 marines killed, and two lieutenants, one lieutenant of marines, one master’s mate, four midshipman, her boatswain, 69 seamen, and 16 marines wounded.[17]

]]> Rocada https://emultec.ma/portfolio-item/emirate-tower/ Mon, 20 Jul 2015 08:14:16 +0000 http://emultec.ma/?post_type=portfolio&p=183

Rapport Complet Officiel

Le Rapport Complet Officiel de l’entreprise ROCADA CONSTRUCTION au format Acrobat PDF imprimable :
Retrouvez dans ce rapport toutes les informations disponibles à jour sur l’entreprise ROCADA CONSTRUCTION, les renseignements légaux et juridiques, le siège social, les 2 dirigeants actuels, l’ ancien dirigeant, le rapport cartographique mettant en évidence le réseau des dirigeants de l’entreprise ROCADA CONSTRUCTION, le dernier évènement et des informations supplémentaires sur l’établissement de l’entreprise.

Rapport Complet Officiel (Livraison : 10 min par email*)
Rapport Complet Officiel de ROCADA CONSTRUCTION au 16/12/2020 6,90€
Ajouté

* A titre indicatif

Documents Officiels numérisés

Dans les statuts sont décrits toutes les règles qui régissent le fonctionnement de l’entreprise. Ils font l’objet d’un dépôt légal aux Greffes du Tribunal de commerce. En plus de toutes les informations générales sur la société, ils peuvent parfois contenir le nom des associés, la répartition des parts entre les actionnaires, la valeur et le nombre de parts total lorsqu’il n’y a pas de pacte d’actionnaire. Ce document possède une valeur juridique.

Statuts numérisés (Livraison: 10 min par email*) Voir un spécimen
Statuts constitutifs – Constitution – Nomination(s) de gerant(s) 7,90€
Ajouté

* A titre indicatif

Chaque modification majeure du fonctionnement de l’entreprise oblige son dirigeant à effectuer le dépôt légal d’un Acte. Ce document acte d’une décision, d’une modification ou d’un compte rendu et sert donc de preuve contre toute contestation juridique car il possède une valeur juridique.

Actes numérisés (Livraison: 10 min par email*) Voir un spécimen
Statuts constitutifs – Constitution – Nomination(s) de gerant(s) 7,90€
Ajouté

* A titre indicatif

Annonces d’évènements parues

Avant chaque changement dans son entreprise, le dirigeant a l’obligation légale de faire une annonce publique de la modification à venir. Ces annonces légales vous permettent donc de retrouver l’historique de la vie de l’entreprise au travers de toutes ces modifications.

]]> Edding https://emultec.ma/portfolio-item/dubai-tower/ Mon, 20 Jul 2015 08:12:57 +0000 http://emultec.ma/?post_type=portfolio&p=182

Présentation de la société EDDING FRANCE

EDDING FRANCE, société par actions simplifiée est en activité depuis 19 ans.
Installée à RONCQ (59223), elle est spécialisée dans le secteur d’activité du commerce de gros (commerce interentreprises) d’autres biens domestiques. Son effectif est compris entre 10 et 19 salariés.

Sur l’année 2019 elle réalise un chiffre d’affaires de 5 363 900,00 €.

Le total du bilan a augmenté de 24,39 % entre 2018 et 2019.

Societe.com recense 3 établissements et le dernier événement notable de cette entreprise date du 04-12-2014.

EDDING INTERNATIONAL GMBH représentée par Per LEDERMANN est président de la société EDDING FRANCE.

edding est une société allemande dont la production concerne les marqueurs permanents et les stylos feutres indélébiles. Elle a été fondée en 1960 à Hambourg.
L’organisation des ventes pour la France se trouve à Roncq près de Lille.

]]> Madinaty Tower https://emultec.ma/portfolio-item/madinaty-tower/ Mon, 20 Jul 2015 08:11:17 +0000 http://emultec.ma/?post_type=portfolio&p=169

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